3. Hippolyte MARQUANT (Nicolas , Jacques ) est né en 1603 à Gondecourt, 59147, France. Il est décédé le 21 mars 1688 à Gondecourt, 59147, France. Hippolyte avait comme profession : laboureur, marchand.
Vente du 01/05/1677 (9024/38) Me Philippe SION notaire à Camphin-en-Carembault.
Hippolyte MARQUANT, fils de feu Nicolas, laboureur demt à Gondecourt, baille à titre d'avant-cense à François MARCHAND, fils de feu Thomas, laboureur et tavernier demt à Camphin, neuf cents de terre à labeur, gisant en une pièce au terroir du dit Camphin, appartenant à l'hôpital de Wavrin tenant de côté à l'héritage de Jean LALLOË de Wachemy, d'autre à la terre occupée par Roch DECARNIN, de bout au terroir de Chemy, d'autre à la terre occupée par Thomas DELEFOSSE pour, par le dit preneur, ses hoirs ou ayant-cause, des dits neuf cents de terre, ainsi qu'ils gisent, s'étendent et comprennent sans autrement livrer par mesure, en jouir, user et posséder le terme et espace d dix ans continuels et poursuivant l'un l'autre, en commencer à la St Rémy dernier passé de l'an mil six cent septante-six, pour faire la première dépouille à l'août en suivant de cet an mil six cent septante-sept parmi payant et rendant par chacun an terre nue et avestures, au dit bailleur, ou à ses hoirs, le nombre de trois rasières et trois quarreaux de blé, mesure de Wavrin, blé semblable et comme il est fait mention par le bail qu'en a le dit MARQUANT, dont le premier paiement pour la dite première dépouille échéra au jour de St André mil six cent septante-sept, et ainsi après continuant d'an en an et de terme en terme les dits dix ans durant par dessus lequel rendage, et sans diminution d'icelui, le dit preneur sera tenu payer toutes tailles, xxèmes et généralement tous autres envois et conditions, comme a été fait mention et repris par le dit bail d'icelui Hippolyte bien entendu, si le dit preneur était tant et tellement défaillant de payer que deux années de paiement attendassent l'une l'autre, sans la première être entièrement payée, en ce cas il sera tenu faire fin de cense, si bon semble au dit bailleur promettant, les dits comparants respectivement, si comme le dit bailleur, faire et laisser jouir, conduire et garantir le dit preneur de l'effet du présent bail, et icelui payer, fournir et entièrement accomplir les dits rendages, charges, devises et conditions ci-dessus déclarés, sous l'obligation réciproquement de leurs biens et héritages, présents et futurs vers tous seigneurs et justices, accorder sur iceux mise de fait et plaintes à loi à la sûreté des choses dites, élisant domicile à la taverne où pend pour enseigne L'Ange en la ville de Lille, pour y exploiter valablement même le dit preneur a promis de reconnaître ce présent bail exécutoire par devant monseigneur le gouverneur de Lille ou son lieutenant, et partout ailleurs où il appartiendra et dont requis sera à ses dépens pour laquelle reconnaissance faire pour lui et en son nom, il a dénommé, constitué et établi ses procureurs des personnes de (en blanc) auxquels et à chacun d'eux seul il a donné pour irrévocable d'effectuer la dite reconnaissance, promettant tenir et avoir pour agréable, ferme et stable tout ce que par les dits procureurs ou l'un d'eux sera, en ce que dessus et qui en dépend, fait et besogné sous pareilles obligations que dit est, renonçant à toutes choses contraires fait et passé au dit Camphin, le premier de mai mil six cent septante-sept, par devant Phles Sion, notaire y résidant, es présence de Piat RAMON, fils de feu Jean, demt au dit Gondecourt, et Lucq DEMOUVAUX, fils d'Antoine, demt au dit Camphin.Témoignage du 03/02/1682 (5586/58) Me Quentin CORNILLOT notaire à Seclin.
Hippolyte MARQUANT, fils de feu Nicolas, âgé de soixante-dix neuf ans ou environ, laboureur, demt à Gondecourt, après serment par lui fait et prêté es mains de moi notaire, présents les témoins après nommés, affirme d'avoir servi de charton Catherine MULIER, veuve de François CLIQUET laboureur à Herin, environ le temps de deux ans, il y a soixante et un ans ou environ pendant lequel temps, l'on ne semait ni plantait colza sur le terroir du dit Herin, ayant entendu que la dite Catherine, sa femme lui aurait dit en ces termes: il me faut aller comme mon beau-fils nommé Andrieu WARCOMY, qu'il était en sa place en l'occupation de la cense du Sr du dit Herin, l'on dit qu'ils ont planté du colza au creu, il me faut aller voir comment celà va esquel sait pour avoir comme dit est, servi la dite veuve de charton, et l'avoir ouï dire ce que dessus, aussi promet ratifier par devant ceux qu'il appartiendra étant requis de laquelle attestation et choses dites Phles DELEHAYE, lieutenant, Venant DUPRET, Pasquier MORTELESQUE, Jenne LALOE veuve de Guillaume DUPRET, laboureurs principaux du dit Herin, ont requis à moi notaire d'en avoir acte que leur ai accordé pour leur servir et valoir là où et ainsi qu'il appartiendra fait, juré, affirmé et passé au dit Herin, le troisième de février seize cent quatre-vingt deux, par devant moi notaire résidant à Seclin, es présence de Pierre BERNARD, fils de feu Hiérosme, et Amand BERNARD (marque DELECOURT), fils de feu Amand, manouvriers demts au dit Herin.Donation entre-vifs du 03/04/1683 Gondecourt (9030/34) Me Philippe SION notaire à Camphin-en-Carembault.
Hippolyte MARQUANT, fils de feu Nicolas, laboureur demt à Gondecourt lequel connût que pour l'amour et affection qu'il porte à Mathias, Jeanne, Marguerite et Michelle MARQUANT, ses enfants qu'il a eu de sa seconde conjonction, demt présentement en sa maison, même pour les récompenser des bons et agréables services qu'ils lui ont faits, et espère qu'ils lui feront pendant son indisposition corporelle, le reste de sa vie, il leur avait donné et donnait par ces présentes aux dits susnommés, ce que moi notaire stipulant ai accepté en leurs noms, par donation d'entre-vifs irrévocable, compensatoire et par la meilleure voie de donation que faire se peut, les parties ci-après déclarées à savoir, au dit Mathias, un petit plantis étant au bout de huit cents et demi de terre au terroir de Gondecourt, étant divisé hors d'iceux par la piedsente menant du Hallot brûlé à la Planche du haut champ, ou au lieu d'icelui, il pourra prendre si bon lui semble, cinquante livres sur les plus clairs et apparents biens du donateur à la dite Jeanne, son lit avec parchene et oreillers, le tout hors part et par dessus les autres si donne comme dit est à ses dits quatre enfants ci-dessus nommés, tous ses meubles tant par ménage que servant à labeurs, ensemble tous ses chevaux, poulains, vaches et généralement tous autres meubles, avec les grains croissant sur ses terres et celles qu'il tient en ferme de plusieurs personnes, avec toutes graisses et amendices desquelles terres en ferme, il leur cède le parfait des baux qu'il en a et au regard des terres qu'il a en propriété, ils jouiront aussi des avestures qu'elles seront trouvées croissant l'année de son trépas, et sitôt après le pied coupé en faire la répartition d'icelles terres entre tous ses enfants, tant de la première que seconde conjonction pour, par les dits susnommés, de tout ce que dessus, à la réserve ne ce qui est donné au dit Mathias et Jeanne, en jouir entre eux également et en cas qu'il y aurait un ou plusieurs d'iceux qu'il ou qu'ils viendraient à sortir de la maison mortuaire pour telle cause que ce fut, ce advenant ils pourront ce faire, pourvu que le demeurant sera obligé leur donner chacun leur quart en argent ou autrement, comme ils trouveront convenir au dire de gens à ce connaissant à charge de par les dits quatre enfants payer et décharger toutes dettes courantes, exèques et funérailles du dit comparant, sans en ce y comprendre les lettres de rentes et hypothèques, lesquelles demeureront en nom commun entre tous ses dits enfants et par dessus ce, seront aussi tenus et obligés de nourrir, alimenter, entretenir et nettoyer leur dit père sa vie durant, sans pour ce en pouvoir prétendre aucune chose aux enfants, tant de la première conjonction que seconde conjonction et comme le dit comparant a un soin particulier pour le salut et repos de son âme, ne voulant mourir sans faire quelque marque de piété particulière, à raison de quoi, il a fondé et fonde par cette, un obit à trois psaumes et leçons à perpétuité, à la charge de l'église du dit Gondecourt, pour lequel obit sera payé au Sr pasteur, trente gros, au clerc quinze gros, et cinquante-cinq gros à la dite église pour ornement, vin et luminaires, qui font ensemble cinq livres parisis courantes en rente au foeur du denier vingt au rachat de cent livres parisis à commencer à décharger le dit obit un mois après son trépas sur quoi, les héritiers d'icelui seront obligés de payer une année prestement, à raison que la volonté du dit comparant est que le dit obit soit déchargé un mois après son trépas, et ainsi après poursuivamment à toujours ce que monsr maître Jean DELEMER, prêtre pasteur du dit Gondecourt a accepté au nom de la dite église à quoi faire, il a par cette obligé huit cents de terre à labeur séant au dit Gondecourt, tenus, une partie de la prébende de Salne, et l'autre de Monsr du Fresnel tenant de côté à Monsr le Baron d'Avelin, d'autre à la veuve Louis ROZE du moins occuperesse, à bout à Bon MARCHAND, d'autre à la piedsente menant du Hallot brûlé à la Planche du haut champ promettant, les dits comparants, ce que dessus tenir, entretenir, sans jamais aller au contraire, sous l'obligation de leurs biens et héritages présents et futurs vers tous seigneurs et justices même obligés, tous ses enfants de l'entretenir, d'autant qu'est telle son intention, accorder sur ses dits biens et héritages mise de fait être faite et décrétée à ses dépens à l'accomplissement de ce que dessus, renonçant à toutes choses contraires fait et passé au dit Gondecourt, le trois avril xvi c quatre-vingt-trois, par devant Phles Sion, notaire de Camphin, es présence d'Antoine MAUPAYE, fils de feu Michel, et Phles DUMETZ, fils de feu Phles, manoeuvriers au dit Gondecourt.Renonciation du 10/03/1687 Gondecourt (9034/29) Me Philippe SION notaire à Camphin-en-Carembault.
Hippolyte MARQUANT, fils de feu Nicolas, laboureur demt à Gondecourt, Pierre, Mathias, Jeanne, Marguerite et Michelle MARQUANT, Nicolas DESNOULET et Marie Catherine MARQUANT sa femme, demt aussi au dit lieu iceux soi faisant et portant fort d'Antoine MARQUANT leur frère absent, d'une part Josse DEBEAUSART, fils de Jean, laboureur demt à Templemars, et Anne MARQUANT sa femme les dits du surnom MARQUANT, frères et soeurs enfants et héritiers du dit Hippolyte et de feue Michelle FREMIN, d'autre part reconnurent avoir fait par ensemble, la renonciation et accord suivant c'est à savoir que le dit Hippolyte MARQUANT, ce que ses dits enfants susnommés ont accepté, a cédé et resigné, cède et resigne, au profit des dits seconds comparants, acceptant pour leur part que peut compter et appartenir à la dite Anne MARQUANT du patrimoine et biens immeubles provenant de la dite feue Michelle FREMIN, deux cents et demi de terre à labeur, séants en une pièce au terroir de Phalempin, tenus de Vendosme tenant de bout au chemin menant du Ponchelet à Seclin, de côté à l'héritage de Toussaint DECARNIN, d'autre à Jacques LEHOUCQ, du moins occupeur pour, par les dits Josse DEBEAUSART et sa dite femme, en jouir, user et posséder depuis le jour de St Rémy dernier passé, en avant héritablement, propriétairement et à toujours à la charge de telles rentes foncières, seigneuriales et anciennes redevances qu'ils sont chargés, purgés et déchargés de tous arrérages d'icelles par le dit Hippolyte MARQUANT, jusqu'au dit jour de St Rémy, comme étant possesseur et viager d'iceux, auquel droit il a renoncé au profit de la dite Anne sa fille moyennant ce que dessus, les dits DEBEAUSART et sa dite femme ont renoncé et renoncent par ces présentes, au profit des dits Pierre, Mathias, Jeanne, Marguerite, Michelle, Marie Catherine et Antoine MARQUANT, leurs frères et soeurs, en toute l'hérédité, tant mobiliaire qu'immobiliaire de la dite feue Michelle FREMIN, eux tenant contents des deux cents et demi de terre ci-dessus à eux cédés fait et passé et renoncé au dit Gondecourt, le dix mars seize cent quatre-vingt-sept, par devant Phles Sion, notaire de Camphin, es présence de Romain et Bauduin DEHENNIN, père et fils manoeuvriers au dit Gondecourt.Partage du 15/04/1689 (6884/36) Me Philippe Adrien DURIEZ notaire à Seclin.
Anthoine, Pierre et Mathias MARQUANT, frères, demts savoir, le dit Anthoine au village de Carnin enclavement d'Annoeullin, et les dits Pierre et Mathias à Gondecourt Jeanne MARQUANT fille libre condition, demte au dit Gondecourt Nicolas DESNOULET, charpentier demt au dit Gondecourt, et Marie Catherine MARQUANT sa femme et Anselme ROOSE, laboureur au dit Gondecourt et Michielle MARQUANT les dits du surnom MARQUANT, frères et soeurs enfants et héritiers de feus Hippolyte et Michielle FREMIN, vivants conjoints demts au dit Gondecourt dirent que de la succession de leurs dits feus père et mère, leur sont succédés vingt et un cents de labeur, en plusieurs pièces séantes au terroir et dîmage du dit Gondecourt et de Chemy, qui sont demeuré jusqu'à présent impartis entr'eux et voulant à présent sortir de communion, ils font partage amiable entr'eux, et il est assigné - au dit Anthoine MARQUANT, deux cents de labeur ou environ, séant au dîmage de Wachemy, tenus de messieurs les doyen et chapitre de Saint-Pierre à Lille tenant d'un plat à la terre des veuve et hoirs André CAIGNY, d'autre à la terre d'Anthoine DUROT, ou du moins par lui occupée, et d'un bout à la terre de Jacques LEDRUT si lui comptera et appartiendra par le dit partage, la moitié de quatre cents de labeur séant au dîmage de Chemy, tenus de messieurs HAERTS et LESTIVENON, chanoines de saint-Piat à Seclin, à prendre la dite moitié du côté de bise à l'encontre de la nommée Jeanne MARQUANT sa soeur tenant à la terre de Anthoine CASTILLON, d'autre plat à la terre occupée par Jean BARATTE, et d'un bout au chemin conduisant de Chemy à Wachemy, passant au travers qui est sa part - au dit Pierre MARQUANT, deux cents de labeur séant au terroir du dit Gondecourt, tenus de la prébende du sieur Ignace BACLAN, chanoine de Seclin tenant d'un plat à la terre de la veuve Paul DELANNOY, d'autre plat à la terre occupée par Nicolas DUTHILLOEUL demeurant à Herrin, et d'un bout au chemin conduisant de Chemy à Carnin qui est aussi sa part, en vue de ce que le dit Pierre avait eu par donation, que son dit feu père lui avait faite en traitant son mariage, deux cents et demi de labeur séant au dit Gondecourt, tenus de (en blanc) - au dit Mathias MARQUANT, deux cents de labeur, pris en huit séant au dit Gondecourt au Bois Dieu, tenus de l'échevinage de Saint-Piat à Seclin, à prendre à l'encontre de Jeanne MARQUANT sa soeur, Anselme ROOSE et Michielle MARQUANT sa femme, et Bauduin DHENNIN en action de Marguerite MARQUANT sa femme, à qui les six cents parfait du dit demi bonnier appartient tenant, le dit demi bonnier, au chemin conduisant de la Planche du Hault Champ au Hallot Bruslé , d'autre bout à la terre de la veuve Bon MARCHANT, d'un plat à la terre de monsieur le baron d'Avelin, et d'autre plat à la terre occupée par Martin RIDON si deux cents de cents de labeur séant au dit Gondecourt, à prendre en une pièce de trois cents à l'encontre des dits Nicolas DESNOULET et Marie Catherine MARQUANT sa femme, tenus, les dits trois cents de la prévôté de l'église du dit Seclin tenant d'un bout à la piedsente conduisant de Gondecourt au château de Haillies, d'un plat à Nicolas DELEFOSSE, d'autre à la piedsente conduisant du Hallot Bruslé à la Blance Maison, passant au travers qui est aussi sa part - à la dite Jeanne MARQUANT, l'autre moitié des quatre cents de labeur séant au dîmage de Chemy, tenus de messieurs HAERTS et LESTIVENON, chanoines à Seclin, à prendre du côté du midi à l'encontre du nommé Anthoine MARQUANT son frère si deux cents de labeur séant à Gondecourt, à prendre en huit à l'encontre de Mathias, Michielle et Marguerite MARQUANT, ses frère et soeurs le dit demi bonnier au long, repris par abouts et côtés en la part du dit Mathias ci-devant qui est aussi sa part - aux dits Nicolas DESNOULET et Marie Catherine MARQUANT sa femme, un cent de labeur pris en trois, séant au dit Gondecourt, tenus de la prévôté de Seclin, à prendre à l'encontre du nommé Mathias MARQUANT son frère, ci-devant repris par abouts et côtés item, deux cents de labeur séant à Chemy, tenus de la seigneurie de la Basre tenant des deux bouts aux terres d'Hubert LALLOE, et d'un plat à Jean DUGARDIN, et d'autre plat au chemin conduisant de Chemy à Wachemy si deux autres cents de labeur séant au dit Chemy, tenus de la srie de la Vecte tenant au chemin conduisant de Wachemy à Gondecourt, d'un plat à la terre des veuve et hoirs Jacques ROOSE, et d'autre plat à la terre de Anthoine BERNARD fils de Simon qui est aussi leur part, en vue de ce que la dite Marie Catherine avait eu par donation, faite par son dit feu père en traitant son mariage, cent et demi de labeur séant à Gondecourt, tenus de l'échevinage de Saint-Piat à Seclin, sur lequel les dits conjoints ont fait à présent bâtir un lieu manoir - aux dits Anthoine ROOSE et Michielle MARQUANT sa femme, deux cents de labeur, pris en huit séant au dit Gondecourt au Bois Dieu, à prendre à l'encontre de Mathias, Jeanne et Marguerite, leurs frère et soeurs, au long repris ci-devant par abouts et côtés si deux cents séant au dîmage de Wachemy, tenus de l'éparse de messieurs de Saint-Pierre à Lille tenant d'un bout au chemin conduisant de Wachemy à la cense des Eswis, d'un plat aux veuve et hoirs Nicolas LEQUINT, d'autre plat à Thomas DESMAZIÈRES et comme la part assignée par ce partage aux dits ROOSE et sa femme est plus valable que celles assignées aux dits Anthoine, Pierre et Jeanne MARQUANT, en cette considération, les dits ROOSE et sa femme ont promis leur payer vingt-huit livres seize sols parisis, à partager entr'eux, afin de venir dans une égalité pour en jouir chacun de leur part à eux assignée, depuis ce jourd'hui, à la charge de telles rentes seigneuriales et foncières, dont leur respective part se trouve chargée, déchargée de tous arrérages d'icelles par ceux les ayant occupées jusqu'au jour de Saint-Rémy dernier passé xvi c quatre-vingt-huit les dits comparants partageurs renoncent respectivement aux parts et portions de l'un de l'autre fait et passé au dit Gondecourt, ce quinzième d'avril mil six cent quatre-vingt-neuf, par devant Phles-Adrien Duriez, notaire à Seclin, , es présence de Josse ROOSE, fils de feu Nicolas, cabaretier au dit Gondecourt, et de Jean BUISSET, fils de feu Mathias, demt au dit Carnin, enclavement d'Annoeullin.
Hippolyte a épousé (1) Catherine DELEVALLÉE le 29 août 1630 à Gondecourt, 59147, France.
Ils ont eu les enfants suivants:
4 F i Jacqueline MARQUANT est née le 18 novembre 1631 à Gondecourt, 59147, France. 5 F ii Barbe MARQUANT est née le 6 avril 1634 à Gondecourt, 59147, France. 6 M iii Nicolas MARQUANT est né le 22 mai 1636 à Gondecourt, 59147, France. 7 F iv Marie MARQUANT est née le 26 mars 1639 à Gondecourt, 59147, France. + 8 M v Jean MARQUANT
Hippolyte a également épousé (2) Michèle FREMIN environ 1643. Michèle est née environ 1620. Elle est décédée en 1667/1687.
Ils ont eu les enfants suivants:
+ 9 M vi Antoine MARQUANT + 10 F vii Anne MARQUANT + 11 M viii Pierre MARQUANT 12 M ix Hippolyte MARQUANT est né le 2 juin 1650 à Gondecourt, 59147, France. Il est décédé en 1654/1659. 13 F x Jeanne MARQUANT est née le 29 novembre 1651 à Gondecourt, 59147, France.
+ 06/09/1676 à Gondecourt, 59147, France ???Jeanne a épousé François HERMANT en 1689.
Cm du 15/04/1689 (6884/37) Me Philippe Adrien DURIEZ notaire à Seclin.
François HERMANT, fils de feu Dominique, laboureur demt à Carnin, relict avec enfants de Catherine LESCAILLET, assisté de Jean HERMANT son frère et de Jean BUISSET son cousin allié, d'une part Jeanne MARQUANT, fille de feu Hippolyte et de Michielle FREMIN, demte à Gondecourt, assistée d'Anthoine et Pierre MARQUANT ses frères, de Nicolas DESNOULLET et Anselme ROOSE ses beaux-frères, et autres ses amis, d'autre part port du futur: aucune déclaration ni spécification port de la future: par contrat de partage entre elle et ses frères et soeurs ce jourd'hui date de cette, lui est assigné: la moitié de quatre cents de labour séant au dîmage de Chemy, tenus des sieurs AERTS et LESTIENENON, chanoines de Saint Piat à Seclin, à prendre à l'encontre du dit Anthoine MARQUANT son frère tenant à la terre d'Anthoine CASTILLON, d'autre à la terre occupée par Jean BARRATTE, et d'un bout au chemin conduisant de Chemy à Wachemy passant au travers à prendre, la dite moitié, du côté du soleil de midi si deux autres cents de labour séant à Gondecourt, à prendre en huit cents séant au bois dieu, tenus de la prébende sieur DEDECKER, chanoine du dit Seclin, et de l'échevinage du dit Seclin, à prendre à l'encontre des nommés Mathias, Michielle et Margueritte MARQUANT, ses frère et soeurs, tenant, les dix huit cents, au chemin conduisant de la Planche du hault champ au Hallot brûlé, d'autre bout à la terre des veuve et hoirs Bon MARCHANT, et d'un plat à la terre de monsieur le baron d'Avelin si elle a à elle appartenant, un lit parcherié et oreillers, deux paires de linceuls, une couverte, une serviette et un coffre fait et passé au dit Gondecourt, le quinzième d'avril mil six cent quatre-vingt neuf, par devant Phles-Adrien Duriez, notaire à Seclin, es présence de Josse ROOSE, fils de feu Nicolas, cabaretier à Gondecourt, et de François ROOSE, fils de feu Arnould, laboureur au dit Gondecourt.+ 14 M xi Mathias MARQUANT + 15 F xii Marie Catherine MARQUANT 16 F xiii Marguerite MARQUANT est née le 30 janvier 1660 à Gondecourt, 59147, France. Elle est décédée le 7 avril 1733 à Gondecourt, 59147, France. Marguerite a épousé Bauduin DE HENNIN, fils de Romain DE HENNIN, en 1688.
Arrangement du 27/02/1688 (9035/31) Me SION Philippe, notaire à Camphin en Carembault.
Romain et Bauduin DEHENNIN, père et fils, demts à Gondecourt, d'une part Jacques DUMETZ, fils de André, et Marie Françoise DEHENNIN sa femme de lui suffisamment et agréablement autorisée de son mari, demts au dit lieu, d'autre part et reconnurent avoir fait certain accord par ensemble, en la forme suivante c'est à savoir que les dits premiers comparants ont consentis et accordé que les dits seconds comparants pourront jouir prestement d'un tiers de cinq cents de terre à labeur séant au dit Gondecourt, provenant de feue Marie DELEFOSSE tenant d'un plat à Piat DESBIENS à cause de sa femme, d'autre à Antoine BERNARD aussi à cause de sa femme, de bout à Amand DESTREZ pour, par les dits seconds comparants, en jouir depuis ce jourd'hui en avant et à toujours, pour la dite Marie Françoise seulement avec la moitié de l'avesture de blé y croissant à la charge de telles rentes qu'il peut devoir avec les arrérages en dus moyennant quoi, les dits seconds comparants ont renoncé et renoncent par ces présentes au profit du fit Bauduin DEHENNIN acceptant à tous les meubles mouvables que le dit Romain délaissera à son trépas, sauf qu'ils auront la moitié des avestures qui seront croissant lors sur les terres que délaissera le dit Roman, et en cas qu'elles seraient renclosées ou battues, ils en auront seulement un tiers, une fois seulement à charge de par eux payer le moitié des dettes à l'encontre du dit Bauduin, avec les .... de rentes, obligations, exèques et funérailles qu'il se trouvera chargé fait et passé au dit Gondecourt, le vingt-sept février mil sept cent quatre-vingt-huit, par devant Phles Sion, notaire de Camphin, es présence de Piat LEBORGNE, fils de feu Guillaume, et Mathias MARQUANT, fils d'Hippolyte, laboureurs demts au dit Gondecourt.
Cm du 27/02/1688 (9035/32) Me SION Philippe, notaire à Camphin en Carembault.
Bauduin DEHENNIN, demt à Gondecourt, assisté de Romain DEHENNIN son père, et Piat LEBORGNE son parrain, d'une part Marguerite MARQUANT, demte au dit lieu, assistée d'Hippolyte MARQUANT son père et Mathias MARQUANT son frère, d'autre primes, quant au portement et chenance du dit Bauduin, son dit père a dit et déclaré compter et appartenir à son dit fils, tout un lieu manoir amassé de maison manable, chambre, étable et grangette, contenant parmi jardin, cent et demi ou environ d'héritage, aucqué et planté d'arbres, séant au dit Gondecourt tenant d'un côté à l'héritage de Bauduin ROZE, d'autre à Michel DUMETZ, de front à la rue des fées item encore cent et demi de terre à labeur séant au dit lieu, tenant d'un plat aux pauvres du dit Gondecourt, d'autre aux hoirs Noël DELEFOSSE, de bout à Pierre BOISTEL à cause d'Antoinette LEGRARD sa femme à lui échu par le trépas de feue Marie DELEFOSSE sa mère, desquels lieu et terre à labeur, le dit Romain en est viager si a déclaré lui compter et appartenir la juste moitié de dix cents et demi de terre à labeur, séant en trois pièces au dit Gondecourt, pour en jouir après le trépas de son dit père, à l'encontre de Marie Françoise DEHENNIN, sa soeur, à qui appartient l'autre moitié si a son dit père consenti, que son dit fils pourra demeurer en la dite maison et jouir du dit manoir, aussi longtemps qu'ils seront d'accord par ensemble, sans en payer aucune chose, fors les tailles et xxèmes, et commencer incontinent le mariage consommé et au regard du portement d'icelle, son dit père a dit et déclaré qu'il donne à sa dite fille, pour au dit mariage parvenir, un quart de bonnier de terre à labeur, séant audit Gondecourt, à prendre de haut et bas jouxtant l'héritage de monsr le baron d'Avelin, tenant de bout à la piedsente menant du Hallot brûlé à la Plance du Haut champ item deux cents aussi à labeur, séant à la Campaigne du dit lieu, tenant d'un plat à Luc DUPONCHEL, d'autre à Jean WARQUAIN, de bout au chemin menant du dit Gondecourt à la Main de fer item une vache de poil noir et deux paires de linceuls pour de tout quoi en jouir incontinent leur mariage consommé et moyennant le portement fait à la dite Marguerite MARQUANT, avec le jouissance d'icelui, icelle avec son fiancé ont renoncé et renoncent à toute l'hérédité que leur peut arriver, tant que dit Hippolyte MARQUANT que de Michelle FREMIN, ses père et mère et ce au profit de ses frères et soeurs, moyennant de les acquitter et décharger des dettes, obligations, .... de rentes, exèques et funérailles de leurs dits père et mère ce que le dit Mathias avec Jeanne et Michelle MARQUANT ont promis y satisfaire si a le dit Romain DEHENNIN accordé aux enfants qui de ce présent mariage naîtront, représentation en sa succession fait et passé au dit Gondecourt, le vingt-sept février seize cent quatre-vingt-huit, par devant Phles Sion, notaire de Camphin, es présence de Jacques DUMETZ, fils d'André, laboureur, et Gaspard BUISINE, fils de feu Jean, cordonnier, demt au dit Gondecourt.
Vente le 15/04/1699 (9046/76) Me SION Philippe, notaire à Camphin en Carembault.
Comparurent en leurs personnes Bauduin DEHENNIN fils de feu Romain, manouvrier demeurant à Gondecourt et Marguerite MARQUANT sa femme, vendent à Anselme ROZE fils de François laboureur demeurant audit Gondecourt.17 F xiv Michèle MARQUANT est née le 26 février 1663 à Gondecourt, 59147, France. Elle est décédée le 8 avril 1696 à Gondecourt, 59147, France. Michèle a épousé Anselme ROZE, fils de François ROZE et Marie GRARD, le 15 septembre 1688 à Gondecourt, 59147, France. Anselme est né le 19 février 1664 à Gondecourt, 59147, France.
Cm du 23/08/1688 (9035/120) Me Philippe SION notaire à Camphin-en-Carembault.
Anselme ROZE, demt à Gondecourt, assisté de François ROZE et Marie GRARD, ses père et mère, d'une part Michelle MARQUANT, demte au dit lieu, assistée de Jean, Mathias et Antoine MARQUANT ses frères, de Nicolas DESNOULLET son beau-frère, d'autre primes, quant au portement et chenance du dit Anselme ROZE, ses dits père et mère, la dite femme suffisamment et agréablement autorisée de son mari, ont dit et déclaré qu'ils donnent à leur dit fils, pour au dit mariage parvenir, la somme de deux cents livres monnaie de Flandre, à livrer incontinent le mariage parfait et consommé, quatre rasières de blé, une vache à choisir en deux, douze aunes de toile entramée blanche et au regard du portement d'elle, ses dits frères et beau-frère, ont dit et déclaré compter et appartenir à la dite Michelle leur soeur, deux cents ou environ de terre à labeur, pris en huit et impartis à l'encontre de ses frères et soeurs item un sixième de dix-sept cents de terre à labeur en six pièces, séant au dit Gondecourt et Chemy, aussi imparti comme dessus item un tiers de tous les meubles étant e la maison mortuaire de leur feu père, à partir à l'encontre de Mathias et Jeanne MARQUANT, ses frère et soeur ce fût ainsi fait et passé au dit Gondecourt, par devant moi Phles Sion, notaire de la résidence de Camphin, le vingt-trois août seize cent quatre-vingt-huit, es présence de Nicolas GRARD, fils de feu Antoine, cuvelier de stil demt à Seclin, et Bauduin DEHENNIN, fils de Romain, manoeuvrier, demt au dit Gondecourt, témoins à ce appelés.
Cm du 17/09/1696 (6891/79) Me Philippe Adrien DURIEZ notaire à Seclin.
Anselme ROSE, fils de François, demt à Gondecourt, relict avec enfant de feue Michielle MARQUANT, assisté de Nicolas GRARD demt à Seclin son oncle allié, et d'Adrien ROSE son frère, d'une part Marie Margueritte LEMESRE, fille de Bartholomé, demte à Avelin, assistée de son père et de Roland et Louis LEMESRE ses frères, d'autre part port du futur: pas de déclaration, qui fût néanmoins, du consentement mutuel des parties, apprécié à la somme de cent livres parisis déclarant de plus, le dit premier comparant, qu'avant convoler en secondes noces, en vertu du présent traité, et pour l'affection naturelle qu'il a et porte à Pierre-François, Marie-Michielle et Cécile-Thérèse ROSE, ses enfants qu'il a eu de la nommée Michielle MARQUANT sa femme défunte, il leur a fait parchon et formoture mobiliaire pour ce qui peut leur revenir à cause des biens meubles, ustensiles de ménage et bestiaux qui peuvent leur être échus par le trépas de leur dite mère en vue de quoi, il promet par cette, de payer à ses dits enfants la somme de cent cinquante livres parisis, une fois, faisant à chacun d'iceux cinquante livres, à leur payer la dite somme à leur âge de mariage, ingression de religion ou prise d'autre état honorable et par dessus ce, de les nourrir, alimenter, vêtir et chausser, jusqu'à leur dit âge, comme à leur qualité appartient et de les faire instruire dans les principes de notre foi catholique, apostolique et romaine et outre ce, les acquitter et décharger de toutes dettes, exèques et funérailles en quoi les mêmes enfants pourraient être chargés comme héritiers mobiliaires de leur mère moyennant quoi, tous les biens meubles et ustensiles de ménage, et autres de cette nature, que le dit premier comparant a en puissance, lui compteront et appartiendront conditionné que si un ou des dits enfants viendraient à mourir en bas-âge, et sans hoir de léal mariage, au dit cas, les survivants seront héritiers du préterminé ou préterminés, nonobstant coutumes au contraire, à quoi le dit ROSE a bien voulu dérogé en faveur les dits enfants la dite parchon ainsi faite du gré, consentement et aveu de Nicolas GRARD et Adrien ROSE, leurs oncles et ensemble leurs tuteurs du côté paternel, et de Mathias MARQUANT demt à Gondecourt, leur oncle du côté maternel port de la future: son père lui donne deux cents livres parisis, avec un lit couvert selon leur condition si portera tous ses habits, linges, bagues, joyaux lui servant fait et passé à Seclin, ce dix-sept de septembre mil six cent quatre-vingt seize, par devant Phles-André Duriez, notaire y résidant, présents Jean DESMONS, laboureur demt à Avelin, et Michel-François DURIEZ, fils du notaire.18 M xv Hippolyte MARQUANT est né le 12 mars 1667 à Gondecourt, 59147, France.